NOTE IMPORTANTE !

Attention Attention !

À tous ceux qui ont eu la chance de se procurer une de mes cartes d'affaires, mon nouveau site dessin se trouve à l'adresse suivante : http://www.deraile.wordpress.com/

Il est mis à jour régulièrement et contient plein de bonnes choses ! :)

lundi 23 mars 2009

Histoire de rigoler

Ceci m'a traversé l'esprit tantôt et je me suis dit que ce serait amusant.

Voici les directives (si vous les acceptez)(communication terminée)(Kshhh) :

Dans le texte qui suit, remplaçez les initiales sans signification précise par des mots commençant par ces dites initiales. Exemple : La poule est une MFL. MFL peut être n'importe quoi : La poule est une Maniaque qui Fouille dans une Litière, par exemple. Car, bien-sûr, les initiales fonctionnent comme n'importe quelle autre. Genre CLSC est "centre local DE services communautaires" et on peut donc rajouter DE ou toute autre préposition ou déterminant entre les initiales. Enfin, assimilant que le concept est assez simple, eh bien... vous saisissez. Tsé.

Have fun, donc, et feel free to make your own !

P.S. Les MAJUSCULES non dotées de sens particulier sont assez évidemment les initiales à jouer avec. Merci.

Texte :

Il existe en ce monde des PG dénuées de F. Cette C peu commune est dûe à un BN trop E. Qu'advient-il alors de la CR et du DU ? Cela échappe, hélas ! aux ACE. Mais la raison T reste envisageable.

En effet, la GTL est fort C à cause de son DC. Cela ne l'empêche cependant pas d'avoir un IS et d'être JM. Ce qui est assez R. De toute façon, L'ETC est strictement BN à cause de sa M. Bien-sûr, il ne faut pas laisser de côté le fait que LPD est sans équivoque DVD à vie. Laissez moi vous L une chose, c'est CF de changer le PDT.

Si vous demandez à un CDR d'amorcer un code, assurez-vous que ce ne soit T pas un code RTC, un code GFT ou un OS de code 1ZM2BPD1CA. Là, ça complique les choses. Surtout quand un J garçon F PTD et entre un code PJC. Ne vous avisez surtout pas d'entrer dans ces J conditions. Y. Bien sûr, AHGBFC.

Enfin, n'entrons pas en la CSS. C'est la FDS et le JAVA est en itinérance. C'est donc CARL qui décidera du KKK qui entrera dans l'EJD.

Merci à tous, et bon PPT.

P.S. : Dites SCT à votre prochain.

Voilà.

*Fin du texte*

Je vous demande à présent, si vous voulez bien (vous êtes mieux)(ma gang de-), de m'envoyer votre chef d'oeuvre, une fois terminé, en fichier texte à l'adresse suivante : deraile07@hotmail.com. Cela me permettra 1. De voir si les directives ont bien été comprises, 2. De promouvoir ce genre de jeu, et 3. De rire un peu.

Soyez à l'aise pour publier votre résultat sur votre blog ou ailleurs ou même faire votre propre texte. C'est amusant et c'est pour le fun. Le ridicule ne tue pas, disent-ils. Gênez-vous pas, donc, et remplacez les majuscules par ce qui vous semble le plus fou ! Innovez, soyez originaux.

- Il est à mentionner que toutes les "oeuvres" reçues ne seront JAMAIS publiées NULLE PART, sauf si demandé, ou avec autorisation de l'auteur. -

Voilà ! Have fun !

(là, j'en fais peut-être une grosse affaire, parce que d'après moi, je ne recevrai pas grand chose, mais.. il ne coûte rien d'essayer ! :-/) (Car oui ! Essayez vous-autres aussi. C'est le fun ! Siouplait...)

:P

lundi 9 mars 2009

Sparte all the way

Quelques photomanips et trucs du genre que j'ai fait aujourd'hui.

:D














8D













8P









Héhé, j'ai eu du fun aujourd'hui. x)

D'abord le rêve, puis ça.

Salute,

Charles

L'épopée d'un rêve...

Cette nuit (ou plutôt ce matin) j'ai fait un rêve vraiment cool (ou enfin, je crois). Ça raconte une aventure haute en couleurs qui donne envie de rêver encore, de se recoucher, ah... Mais, reste que c'est pas mal bizarre (comme tout rêve, jeu sais). Enfin, j'explique :

Tout cela commence dans un espèce de centre commercial. Je me promène, et j'arrive dans une boutique de jeux et vidéos. J'observe et, comme dans la plupart de mes rêves où j'entre dans un magasin de jeux, je ne trouve fâcheusement que des jeux du genre : Les aventures de Tony le Tigre à Frosted Flakes Land ou Lave l'évier avec Super Éponge. Vous voyez le genre, c'est pas des jeux. Bon, enfin bref, je sors de la boutique et je me retrouve à l'extérieur du centre commercial. Je regarde à droite et il y a une autre entrée qui mène à l'intérieur. Je m'approche et regarde à l'intérieur de la vitrine. Il jouent à Left 4 Dead, là dedans ! (Left 4 Dead est un jeu vidéo style horreur où des tas de zombies qui ont la rage cherchent à tuer tout ce qui bouge, en gros) Mais attention, ils y jouent grandeur nature, avec des guns pis des vrais zombies. Des gardes aux portes s'occupent d'empêcher les zombies de sortir de l'établissement. Mais, évidement, un zombie réussit à avoir un garde et le jeu est terminé. Les zombies sortent de l'immeuble par dizaines et courent après les gens pour les massacrer. Bon, j'accours vers le côté gauche de l'immeuble et j'apperçois une piscine au sol. Je fonce alors y plonger au fond (une piscine ronde d'environ 7-8 pieds de profond). Et j'attends. Étrangement, je n'ai plus besoin de respirer car je suis là depuis un bon bout, déjà. Et j'attends, en me tassant sur les bords de la piscine pour ne pas me faire voir. Et un momment donné, je gèle ! Je suis pris dans un bloc de glace et je reste là un méchant bout de temps. Environs quelques centaines d'années, je dirais. Et puis un jour, j'apperçois des êtres au dessus de la piscine. J'essaie de bouger mon bloc de glace (Et oui, je suis dans un bloc de glace dans la piscine, pleine d'eau même pas gelée) de façon à me cacher, et, à l'aide d'une perche ou je sais pas quoi, ils m'extirpent de la piscine et m'interrogent. Heureusement, je parle la même langue qu'eux et, bref, ça switche pas rapport à dans le magasin à ma tante (Woh !). Je me promène dans les allées et je trouve une bouteille contenant un liquide rouge. Dessus il est marqué "Fruit Punch with Gonzola". Je me demande bien ce qu'est cet ingrédient qu'est le Gonzola. J'ouvre et j'avale le contenu sans me demander rien (et sans aller le payer non plus) et, en le sachant, je me retrouve avec des pouvoirs télékynétiques. Un petit gars du badminton en secondaire un est au comptoir et je m'amuse à lui envoyer des réglisses au visage, pas rapport. Ça me tente, bon. Et puis je décide de me téléporter là où j'étais, moments ago. Pouf, j'apparais devant les humanoïdes de tantôt. Je leur montre la mixture (car il en reste, oui oui) et on devient amis. Et là, ça switche de contexte radicalement (encore, lol). Je suis avec des supers amis, on a bu de la "Gonzola" tous les quatre ou cinq et maintenant, on se dit qu'on va conquérir des planètes, mais qu'on a se retrouver. Notre but (je l'apprends inconsciemment), c'est d'avoir notre planète à nous et d'y faire ce qu'on veut. Notre monde à nous. Grâce à nos pouvoirs, on peut désormais voler (ce qui est très cool dans un rêve). Maintenant, il faut nous éjecter de l'atmosphère terrestre. Heureusement, à quelques mètres de nous se trouve un "pitche-personne" qui va tous nous éjecter. Ça ressemble à une station de téléportage, dans Starcraf. Enfin, bref, ahem ! On pense à une chose importante avant de partir dans l'espace. Il faut respirer ! Eh oui, car quand on parcours l'univers en col roulé, jeans et bas de laine, il faut penser à cela. Grâce à nos pouvoirs, on fait le voeux de pouvoir respirer dans l'espace (rohhh c'est beau, faire des ti-voeux avec des tis-namis et que ça marche. Awww...) et on s'éjecte vers de nouveaux cieux ! Là, j'essaie de me trouver une planète convenable à mon plaisir et je tombe dans une, pas rapport. Je descends dans l'atmosphère et j'apperçois quelqu'un. La planète est déjà prise. Zut. À ma grande surprise (pas dans le rêve évidemment, car c'est tout sauf étrange), c'est Normand Brathwaite qui est assis sur un coussin flottant dans une grande piscine. Vu que c'est sa planète, il contrôle tout. Alors il me fige dans les airs, pas rapport et me demande ce que je fais ici. Je ne réponds pas (ne sais-je pourquoi) et, pour le trip, il joue avec moi : il me cale dans le douze pieds, me frappe à coups de ballons de plage et me renvoie (finalement) (ouf) hors de chez lui. Bon le reste du rêve est assez flou et m'apparaît alors assez facultatif, alors, je vais être bref. Heum, bon, le reste du rêve, je contrôle Frye de Futurama et je m'amuse sur une planète avec que de l'eau. Je combats des robots marins habitant la planète et je trouve un beau palais juste pour moi - une genre de grande grande sale, peu éclairée, avec une piscine qui couvre toute l'aire de la place (ouais, la piscine était à la mode, dans ce rêve, dis donc !). Et je me couche dans la piscine et j'attends. (j'attends Leela, apparemment) Et c'est à peu près ça.

Hah, c'est fou comme ça peut switcher dans un rêve. Mais c'est hot. Surtout quand on s'en souvient ET, bien-sûr, qu'on rêve le matin, vers 8-9-10 heures. Allez savoir pourquoi, moi, en tout cas, c'est là que je fais les rêves les plus cools. En tout cas. C'est à peu près cela. Je voulais vous faire part de mon rêve de cette nuit qui, après réflexion, me paraît un brin moins hot que ce matin. Ouais, le cerveau ramollo parce qu'on dort, on trouve des choses pas si pire hot vraiment hot. En tout cas. Ce sera le sujet d'un autre article, sûrement. Sinon, à plus !

Au plaisir de vous voir rêver. À moi, qui sait... ;p

Charles

mardi 3 mars 2009

Êtes-vous fou ?

Petite parenthèse.

Quand quelqu'un vous traite de fou, soyez honorés. C'est bien de se faire traiter de fou en fait. Je me suis souvent fait dire : "c't'un fou, lui." Et j'ai pris ça comme un compliment car C'EN est un. Être fou, voyez-vous, signifie que vous êtes hot, ou que vous sortez de l'ordinaire. Être fou, donc, signifie que vous êtes génial. Allez, traitez le monde que vous admirez de fou et voyez leur réaction abracadabrue.

Bien-sûr, il faut savoir comment le faire car, comme toujours, il y a une façon de dire les choses. Ne dites pas "T'es fou, toi." Mais plutôt "Fou raide !" Attention aussi : ce compliment ne s'applique pas aux filles. N'allez jamais leur dire "Hey, t'es folle, toi." Elles pourraient mal le prendre. Dites plutôt "C'est fou comme tu es bonne !" Enfin, vous saisissez le principe. Je crois bien, en fait, car qui pourrait être plus clair ? Aucun fou n'en serait capable.

Conclusion : Il existe un fou en dedans de chaque toé. Faites-le ressortir ! Soyez hot ! Ou pour ceux qui sont des rejects finis, contentez-vous d'être fou, point.

Charles

lundi 2 mars 2009

Batman et Coquine, la rencontre


L'autre jour (hier soir) (donc, l'autre soir), j'ai fait un de ces rêves coquins qui donnent envie de se recoucher. À 11h20 du matin.

J'ai d'abord rêvé que j'étais dans un genre de jeu de tir à la première personne, ou tout simplement un James Bond improvisé et puis ma première mission, donnée télépathiquement par mon esprit en personne, c'était d'infiltrer un immeuble discrètement, par derrière, armé d'un pistolet silencieux et chaussé de feutres isolants (c'était l'hiver, que voulez-vous).

Alors donc, j'arrive au seuil de l'immeuble, un escalier divisé en deux parties monte vers une porte vitrée. Je me lance. Un comité d'accueil m'attendait, bien évidemment. Un type, vêtu d'une veste de cuir, me tire dessus. Je le neutralise facilement. Je pénètre dans l'immeuble, j'avance. Un couloir se dresse à gauche. Je le suis. D'autres individus, coiffés d'un chapeau melon, m'assaillent. Je les kill tous, cheap shot. Bref, je m'enfonce dans l'immeuble en montant les multiples escaliers à ma vue (toujours sans savoir le but de ma visite, mon but étant probablement de faire le plus de kills possible) et je butte tout le monde, tel un Sean Connery en smoking. Enfin, j'arrive au "BOSS". Batman, vêtu d'un bat (lol, pas vrai), m'attend en haut de l'immeuble. Sachant que je ne suis pas de taille, je fuis à toutes jambes. Je descends l'immeuble à une vitesse telle qu'il a l'air de n'avoir que deux étages. Je prends tout de même la peine de tirer quelques balles par derrière à mon poursuivant, histoire de le ralentir un peu. Arrivé au rez de chaussée, je me rends compte que je l'ai devancé d'un étage. Je sors par la porte d'entrée et descends les escaliers. Je me retourne. Qui ne vois-je pas péter la vitre du premier étage donnant au dessus de moi et atterrir drette derrière moi ? (vous savez qui) En sortant de l'immeuble, la sortie de ce dit immeuble se transforme alors en l'entrée de devant de chez mes grands parents (je rêve, bien sûr !). C'est alors l'interminable scéance de tir. Étrangement, Batman a un gun et il me tire avec. Bon je n'étirerai pas là dessus. On se tire, on se tire et à chaque fois que mon cerveau simule un tir qui m'atteint, je ressent des chatouilles à la tête (comique pareil o.O). Je trouve enfin une issue au combat sans fin et je vais me réfugier dans le magasin voisin (qui se trouve être celui de mes grands parents, évidemment). Je parcours les étalages du magasin et je m'achète un sac de chips, tout bonnement. Puis je me souviens que Batman me poursuis et je vais me cacher à l'arrière du magasin. Ne trouvant pas de cachette adéquate (la toilette publique ne se verrouille pas et je ne veux pas finir mes jours enfermé dans un congélateur), je me cache derrière un réfrigirateur Coke (pas fort, tsé). Évidemment, ce n'est qu'à ce moment que Batman entre dans le magasin et je l'entends demander à ma tante, qui est caissière là, où je suis. Elle nie m'avoir vu et peu de temps après, horreur, je vois Batman apparaître dans l'allée et avancer vers moi. Ça y est, je suis mort. Batman va faire son boulot et faire le bien : Tuer un espion innocent qui buttait des bonhommes légumes qui, peut-être, en fait, travaillaient pour lui. Bon, enfin bref. Il s'avance et me voit. Je lui tire dessus comme dernière volonté et, bien entendu, ça ne lui fait rien. Et il me dit tout simplement : "Ho ! Tu es doué, dis donc !" Je ne suis même pas surpris et réponds modestement que je n'ai commencé l'entraînement d'espion que récemment. Et alors, du coup, je deviens l'acolyte de Batman, sans vraiment savoir pourquoi. Il me dit que mon suit est à redessiner et je remarque qu'il porte des genre de bas pointus avec un caoutchouc rouge comme semelle et que le sien est pas mal amateur itou (on s'entend que mon sens de la mode est un brin ramollo, ben endormi). Bon. C'est un rêve, mais quand même, c'est comique de voir Batman accoutré comme ça et d'être par la même occasion mon ami (j'aimerais pas avoir un ami habillé de même, vous suivez ?). Bon, enfin, on marche vers la porte du magasin, il s'éloigne de moi et il se warpe pas rapport dans le plafond et en sortant je le vois sauter d'une trappe, sous le toit du magasin. Il atterrit près de sa Bat-Mobile qui, pas rapport, est parkée devant le magasin. Il me dit que j'aurais pu faire une sortie plus cool du magasin et je tente misérablement de me racheter en sautant les trois-quatre marches qui montent au magasin. Il rit de moi. Je me dirige alors vers le spot qui warp vers le grenier puis je me réveille.

Ouf, pas faché que ce soit terminé. Batman était en train de se moquer de moi. Parce que lui trouvait ça cool, fallait être cool.

Morale de cette histoire ? Couchez-vous pas tard, ou plutôt, levez pas à midi. Les rêves parcourus à cette heure sont peut-être le fun, mais ils sont quand même bizarres (après analyse lucide) et/ou comiques.

Bon. Assez balbutié, c'est en écoutant Psychobilly Freakout que je vous dit bonne nuit et "Don't laugh at Batman, it could be bad for your neck."

Sur ce, encore une fois, bonne nuit.

Charles, le gars fucké qui rêve comme tout le monde.

dimanche 1 mars 2009

Sont pas quétaines. Juste différents

Comment faire pipi et caca avec Tigrou-japonais-qui-saute-pas-sur-sa-queue ! (y fait pipi avec, en fait)

Sont fous ces japonais. Simplement.

Voyez :




On devrait avoir des dessins animés comme ça chez nous. Histoire de rire un peu.

Charles.